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 Le
solaire n’est pas du thermique mais avant tout de l’optique.
Lorsque l’on rentre dans sa propre voiture en hiver et que son pare brise
est exposé en plein soleil, qui n’a pas constaté la température plus agréable et
quelquefois étouffante qui y règne ? Alors, pourquoi ne pas utiliser cet effet
de serre pour transmettre instantanément ces calories disponibles au plus proche
de sa source, c’est à dire dans sa maison. D’autant mieux que les techniques
actuelles peuvent en optimiser les résultats.
La Centrale Solaire
est
intermittente. Elle produit de l’air chaud et/ou l'eau chaude pour créer
des échanges thermiques.
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La « Centrale
Solaire » réalise une économie d’énergie de l’ordre de 50%, voire plus, selon
les conditions d’installation et la latitude du lieu. La récupération d’air
ambiant en partie haute améliore le rendement de l’installation. L’air, grâce à
la performance des capteurs évite les installations hydrauliques complexes et
pas toujours fiables. Néanmoins il est possible d’intégrer un échangeur à eau à
l’intérieur de la Centrale Solaire, par une simple couronne de cuivre noirci, et
d’obtenir ainsi de l’eau chaude sanitaire intermittente et instantanée.
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La régulation comprend
un thermostat d’ambiance et une régulation numérique :« tout ou rien », qui
ouvre ou ferme le clapet anti-retour de sortie d’air chaud. Elle commande le
ventilateur dès que le capteur est en mesure de fournir des calories
supplémentaires jusqu’à ce qu’il atteigne la température de consigne
intérieure, réglable de 3 à 27°C.
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La « Centrale Solaire » procédera très largement aux besoins
énergétiques de la Maison ou d’un petit hameau, sous toutes les latitudes
pour le chauffage ou la ventilation. Les principales utilisations se
résument ainsi:
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Chauffage des maisons ;
-
Ventilation des maisons ;
-
Eau chaude sanitaire, individuelle ou
collective ;
-
Cuisson et/ou migeotage ;
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Séchage ;
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Stérilisation.
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L’espace soleil a encore d’autres applications plus
attrayantes telles que
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Le
Protecteur solaire ;
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Le Hammam ;
-
Le
Séchoir ;
-
Le Pare
vent ;
-
Le Distillateur solaire qui pourrait servir au dessalement de l’eau de mer,
-
Et
toutes techniques qui voudraient utiliser un « effet de serre » en plus.
L’effet de serre, simple à comprendre puisque il utilise deux
des résultantes du rayonnement solaire par ses effets
optiques : le corps noir et le corps blanc.
Adaptable à tous les climats il permet de nombreuses
applications qui vont du chauffage de l’air à celui de l’eau ou
au séchage de produits organiques et végétaux, en passant
par le distillat d’eau de mer ou polluée, la stérilisation, la
cuisson mijotée des aliments, la ventilation naturelle des
maisons, etc…
La
centrale solaire comporte deux matériaux aux propriétés optiques
différentes, exploitant l’effet de serre optimisé, ou piégeage
de lumière, grâce à un corps noir:
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Le FILM SOLAIRE technique de haut grade, clipsé sur des profilés spéciaux
d’aluminium ;
-
Le
TEDLAR en 100µ d’épaisseur intervient en extérieur, le FILM SOLAIRE en 50µ
d’épaisseur, intervient en doublage du TEDLAR.
Les installations, les
plus simples de ce type, chauffent l'eau pour les besoins en eau chaude des
ménages. Toutefois, cette technique permet principalement de chauffer une maison
de manière intermittente, en utilisant l’air chaud produit dans la Centrale
solaire, qui par bouclage et aspiration reprend l’air ambiant ; et après passage
dans la Centrale, en période ensoleillée, restitue de l’air plus chaud.
-
De 3 ou 6m2
de « Film Capteur Solaires », intégrable dans un grenier ou dans un
espace quelconque bien insolé, façade de préférence ou toiture, exposé
au
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« Sud Solaire », le capteur est destiné
au chauffage, ou préchauffage grâce à l’échange thermique avec l’air
pulsé. C’est en fait un bouclage de l’air ambiant, aspiré chauffé dans
la centrale et restitué, plus chaud, dans l’immeuble, aussi bien des
bâtiments industriels, collectifs et maisons individuelles, avec
régulation différentielle associée. Ceci permettra au moins une mise
hors gel des résidences secondaires.
-
Par commutation
manuelle été/hiver, on peut obtenir aussi une ventilation des locaux en
été ou un chauffage pour l’eau chaude sanitaire directe en été pour
éviter le gel.
L’espace soleil est
le résultat naturel issu de
l’utilisation du « Film Solaire »!
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Grâce à l' « Espace
Soleil », et grâce à l'effet de serre et aux propriétés optiques du film
technique utilisé qui laisse passer les UV à 97 %, on peut se faire bronzer
par tous les temps, sans avoir froid. Différentes formes de tentes,
solarium, espace vie, totalement transparents sont réalisables. On pourrait
également réaliser des hammams.
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L'idée est la suite de
l'expérience acquise avec le vêtement solaire. Il concerne les personnes en
manque de soleil quand il fait froid, naturistes, maisons de retraites, de
cure, particuliers dans leur jardin, terrasses, balcon, sur la plage, etc.
-
Le « Film Capteur Solaire »
a pour but de laisser passer pratiquement tout le rayonnement solaire, sauf
les UVB et C.
C’est l’application de l’effet de serre par
excellence et de l’exploitation optique optimisée du soleil pour piéger sa
lumière.
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Un
caisson généralement en bois = pas de champs magnétiques, pas de
déperditions, contrairement au métal. Sa forme permet d’augmenter la
surface d’absorption du rayonnement lumineux ( Equerre plus grande que
l’hypoténuse).
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Le bois permet en outre une adaptation très
simple à de nombreuses configurations. Ce caisson est fabriqué selon les
règles de l’art des menuisiers et rendu étanche au maximum ( usage du Rubson
ou assimilé)
-
La transparence est obtenue
non pas par du verre dont l’épaisseur gène la transmittance des
photons et ce verre reste réfléchissant aux rayonnement incidents. Il s’agit
du TEDLAR, légèrement translucide ( Pas de réflexibilité ) et
d’une résistance mécanique une fois thermorétracté de l’ordre de 120 kg au
m². Le TEDLAR a cette faculté d’être un bon diffuseur de lumière même
au rayonnement incident.
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D’un double film Polyester
en 65 µ, qui lui est réfléchissant, permettant ainsi de piéger le
rayonnement infra rouge ré-émis par le corps noir.( optimisation de
l’effet de serre)
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Le corps noir est du PX
FOAMGLASS T2. en 40 mm d’épaisseur. Ces propriétés sont d’être
réémissives au rayonnement solaire donc favorables au réchauffement de l’air
piégé dans le caisson. Contrairement au métaux qui eux sont non émissifs
pour justement chauffer de l’eau par contact, par exemple, d’où
l’utilisation de couches sélectives.
-
Le
foamglass va recouvrir, collé,
la totalité perpendiculaire au zénith du soleil quand le
Climaver 284 lui aussi collé
sur les côtés du caisson favorisera une réflexion du rayonnement incident
vers le centre du caisson et le CORPS NOIR. Le
Climaver est un isolant de
laine de verre de 25 mm d’épaisseur recouvert d’une couche d’aluminium qui
en fait un déflecteur optique efficace.
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Les deux films sont clipsés
sur des cadre en profilés spéciaux d’aluminium résistants à la rétractation
des films qui atteignent 3 % de rétreint.
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Les cadres sont introduits,
une fois fabriqués, dans une trémie correspondant à la surface de
transmittance voulue. : 1 m² de captage pour un volume de 100 m3
habités, en tenant compte toutefois des latitudes et un peu du micro climat
ce qui conduit à ajouter quelques m² en sus quelquefois.
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Les cadres reposent sur le
chant du bois qui, s’il est aux intempéries sera obligatoirement du
CTBX alors que s’il n’y est pas il peut être en contreplaqué
normal . Parfait isolant s’adaptant bien sur le méplat des profilés spéciaux
qui présente une jupe de 25 mm de largeur.
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L’étanchéité est assurée par
du Compriband en deux fois 10
mm de large pour laisser 5 mm de place pour les vis placées au milieu
des 25 mm afin de ne pas détériorer le joint.
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On observe des températures
statiques dans le caisson suivant la luminosité solaire de l’ordre de 55
° C utiles à 180 ° C. suivant les latitudes et les altitudes ( En
montagne on arrive à 200 ° C à 1 400 mètres d’altitude = cuisson du pain
possible sous un ensoleillement optimum plus conséquent parce que…..
plus près du soleil .
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Il est bon de rappeler que la constante
solaire est de 1 000 watts au m² reçu au sol en direct , hélas très
intermittente, et que le rendement résultant ne sera en moyenne que de
300 watts /m² au rayonnement diffus ou direct pendant un certain nombre
d’heures dans l’année qui font que, en intersaisons, on rattrapera le
retard du plein hiver. L’amortissement sera d’autant plus certain que
cette période d’intersaisons est plus longue notamment dans les régions
septentrionales.
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Le renouvellement d’air
n’est pas pris en compte et reste en conformité avec la législation,
même s’il provoque une déperdition à compenser.
 Envoyez
un courrier électronique à
artdefes@hotmail.fr
pour toute question ou remarque concernant ce site.
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mercredi, 07. juillet 2010 01:00
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